C’est la semaine des « conseils rapides » ici à Law Technology Today ! Cette semaine, prenez un moment pour réfléchir et redécouvrir d’excellents posts que vous avez peut-être manqués, comme celui-ci !
Se poser les bonnes questions au bon moment
Un avocat qui réussit sait que la profession juridique peut jouer selon son propre ensemble de règles et de règlements, en particulier lorsqu’il s’agit de restructuration d’entreprise, mais il n’est pas assis dans une bulle isolée.
De temps en temps, il est bon d’adopter une approche multidisciplinaire pour réévaluer les forces et les faiblesses d’un cabinet d’avocats en pensant davantage comme un propriétaire d’entreprise que comme un avocat qualifié. Avant de commencer à dégrouper votre cabinet d’avocats, posez-vous les six questions suivantes. Les réponses seront différentes pour chaque cabinet d’avocats en fonction de l’étape à laquelle il se trouve actuellement et de sa volonté de sortir des sentiers battus en ce qui concerne la façon dont le cabinet fournit des services juridiques la façon dont il définit la pratique du droit et la façon dont il exploite son entreprise pour être compétitif et maximiser la rentabilité.
Quelle est la valeur réelle des services juridiques que le cabinet fournit aux clients ? Dans les services offerts, la valeur pour le client est _______________. Quels compromis actuels le cabinet fait-il entre la qualité des services juridiques fournis et la capacité du cabinet à fournir un bon service au client et des frais juridiques abordables ? Existe-t-il des situations où le cabinet pourrait améliorer le service à la clientèle, la communication et l’accessibilité financière sans avoir à faire de compromis sur la qualité des services juridiques fournis ? Quels sont les processus que le cabinet mène avec le client qui pourraient être dégroupés ? Ne vous limitez pas au traitement standard des affaires juridiques pour les clients et pensez à une approche holistique de l’entreprise, comme l’évaluation d’autres services de soutien aux clients que le cabinet pourrait fournir et qui rendraient l’expérience du client plus positive. Dans chacun de ces processus d’interaction avec le client, existe-t-il des moyens de rationaliser les opérations impliquant des informations et des données tangibles, soit par l’utilisation de la technologie, soit en recréant de nouveaux systèmes d’organisation et de livraison ? Pour faciliter cela, y a-t-il de nouveaux rôles qui devront être créés au sein du cabinet d’avocats ? Comment le cabinet pourrait-il pourvoir ce poste et acquérir les compétences nécessaires, ou comment une partie du processus pourrait-elle être externalisée ? Est-ce que l’un de ces nouveaux domaines d’intervention dans l’entreprise deviendrait un passif au lieu d’un actif, et comment le cabinet se préparerait-il à cette possibilité et équilibrerait-il le risque ?
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